Il n'y a pas à dire, les musées par ici, c'est vraiment le paradis! Après une petite balade sur le bord de mer du côté du détroit de Cook que Florence vous relatera tout prochainement, nous avons repris le bus pour le centre ville. A peine arrivé, le soleil pointe le bout de son nez pour nous accompagner durant les quelques mètres qui nous séparent du musée. On s'arrête au feu du passage piéton pour franchir la dernière route nous séparant du musée de la ville de Wellington et de la mer, quand tout à coup le soleil disparaît et laisse la place à une fine mais très dense pluie, le tout en l'espace de 15 secondes! L'attente au feu rouge n'aura finalement pas été longue, mais on entre dans le musée bien humide malgré tout!

C'est aussi cela le charme ici: avec le vent, la météo change très rapidement, parfois en notre faveur, parfois pas...

A l'intérieur, on nous demande d'où nous venons et si nous souhaitons la brochure explicative en allemand ou en français. Nous commençons la visite du musée (qui est gratuite, bien entendu) avec la brochure anglaise histoire de ne pas prendre trop de mauvaises habitudes. Sur les 3 étages, nous avons à nouveau un musée très riche et complet, dont la lecture et la visualisation de tous les films doit au minimum prendre 2 jours complets. Heureusement que l'accès est libre, cela me permettra de certainement revenir et lire tout ce qui m'intéresse et que je n'ai pas eu le temps de faire cette fois! A côté d'une excellente revue des 100 dernières années à Wellington et en Nouvelle-Zélande, on a droit à de magnifiques films, un voyage en arrière à Wellington en 1900 ou encore la possibilité de revivre le naufrage du Wahine qui a lieu en 1968 en plein cyclone.